Le risque d'AVC ischémique pourrait être augmenté par la prise d'antiémétiques antidopaminergiques. C'est en tout cas ce qu'a suggéré en mars une étude de l'Inserm, de l'université et du CHU de Bordeaux.
À partir des données nationales de remboursement de soins de l’Assurance-maladie et de celles des hospitalisations, les chercheurs ont réalisé une étude dite « cas propre-témoin » portant sur 2 612 adultes hospitalisés pour un premier AVC ischémique entre 2012 et 2016 et ayant entamé un traitement par antiémétiques dans les 70 jours précédant l'AVC ischémique. Les analyses ont retrouvé une plus forte consommation d’antiémétiques dans les 14 jours précédant l’AVC marquée par un pic de d’initiation de traitement sur cette période. Le risque apparaissait plus élevé dans les tout premiers jours d’utilisation.
A. Bénard-Laribière et al, BMJ, 2022.376:e066192
Un traitement approuvé aux États-Unis dans l’hypertension artérielle pulmonaire
Un consensus sur la tuberculose aboutit à une nouvelle classification pour améliorer le diagnostic
Carmat : le CHU de Montpellier rejoint l’aventure des centres greffeurs en France
Généreux et têtu, un généraliste retraité de Pornichet rallie l’Ukraine à trois reprises contre vents et marées