D’après les recommandations américaines et européennes, un DAI doit être posé en prévention primaire dès lors que le patient présente au moins deux facteurs de risque parmi les quatre suivants :
1. Épisodes de tachycardie ventriculaire non soutenus (< 30 secondes).
2. QRS à l’ECG supérieur à 180 ms de largeur.
3. Dysfonction du ventricule gauche.
4. Stimulation ventriculaire programmée positive (induction d’un trouble du rythme).
En prévention secondaire, un DAI est indiqué si le patient a déjà fait un arrêt cardiaque ou une tachycardie ventriculaire qui a duré plus de 30 secondes.
Infarctus avec fraction d’éjection préservée : faut-il revoir la place des bêtabloquants au long cours ?
Fortes tensions d’approvisionnement de rifampicine en Europe : l’ANSM émet des recommandations
Fibrillation atriale : le diltiazem augmente le risque de saignements sévères chez les patients traités par anticoagulants oraux directs
Douleurs abdominales fonctionnelles de l’enfant : un diagnostic à ne pas sous-estimer, insistent les pédiatres