Bien que cité dans ses différents rapports, le niveau de consommation de protoxyde d'azote ne figure pas encore parmi les « chiffres clés » régulièrement publiés par l'Observatoire français des drogues et des tendances addictives. Et il n'est pas encore évalué dans des grandes enquêtes nationales.
Quelques études ont toutefois été menées. À Paris, l'Observatoire français des usages actuels de substances psychoactives chez les étudiants (enquête Cosys) a révélé en 2019 que, sur les 30 000 étudiants interrogés (âgés en médiane de 21 ans), 6,2 % des garçons et 3,0 % des filles indiquaient déjà un usage de protoxyde d’azote en 2018. Selon cette même enquête, il y avait également, dans ce public, une proportion importante de jeunes consommant également d’autres produits psychoactifs, principalement du cannabis et de la MDMA (ecstasy).
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Tribune
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