L’étude de phase III IMbrave150 (9) a randomisé 501 patients atteints d’un carcinome hépatocellulaire non résécable et naïfs de traitement systémique pour recevoir soit l’atezolizumab (anti-PDL1) associé au bevacizumab (anti-VEGF), soit le sorafenib. Par rapport au sorafénib, la SSP était significativement augmentée avec l’association (6,8 vs 4,3 mois, HR = 0,59, p < 0,0001), ainsi que la SG (non atteinte vs 13,2 mois, HR = 0,58, p = 0,0006), réduisant de 42% le risque de décès. Le taux de réponse était également multiplié par deux avec la combinaison, évalué par les critères RECIST 1,1 (27 % vs 12 % pour le sorafenib, p < 0,0001) ou mRECIST (33 % vs 13 %, p < 0,0001). Une ATU nominative permet aujourd’hui aux patients de bénéficier de cette association.
Et dans le carcinome hépatocellulaire ?
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Publié le 20/10/2020
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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