La cardio-oncologie connaît des avancées récentes, avec la démonstration de l’absence de bénéfice d’un traitement préventif de la dysfonction ventriculaire en cas de chimiothérapie par anthracyclines. Ce risque apparaît globalement très faible et la stratégie de surveillance est donc à moduler en fonction du profil de chaque patient. L’analyse des données de pharmacovigilance de l’Organisation mondiale de la santé met de son côté en évidence un nouveau signal : un risque accru d’allongement de l’espace QT, notamment avec les thérapies ciblées, ainsi qu'un surrisque de fibrillation atriale avec 19 anticancéreux (dont 14 sont utilisés dans les hémopathies). Pour 9 des 19 molécules, il s’agit d’un signal non rapporté antérieurement dans la littérature.
Du nouveau en cardio-oncologie !
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Publié le 04/03/2022
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Crédit photo : phanie
Dr Isabelle Hoppenot
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Source : Le Quotidien du médecin
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