Une heure maximum, telle est la durée à ne pas dépasser pour les amateurs de sieste, au risque de voir augmenter le risque cardiovasculaire… Ce résultat émane d'une méta-analyse qui a porté sur plus de 310 000 sujets inclus dans une vingtaine d’études, dont 39 % faisaient régulièrement la sieste.
Globalement, faire la sieste était associé à une augmentation de 19 % de la mortalité, particulièrement chez les femmes (+ 22 % vs 17 % chez les hommes). Les siestes longues de plus d’une heure étaient associées à un surrisque de 30 % de décès de toutes causes et de 34 % de maladie cardiovasculaire, seulement chez les sujets dormant par ailleurs plus de 6 heures par nuit.
L’impact de la durée des siestes sur le risque cardiovasculaire suit une courbe en J, sans surrisque pour celles de moins d’une heure.
D’après la communication du Dr She Pan (Chine)
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