L'Agence du médicament (ANSM) a publié des restrictions d'utilisation concernant les inhibiteurs de Janus kinase (JAK) dans les maladies inflammatoires et dermatologiques afin de limiter le risque d'événements indésirables sévères, considérés comme des effets de classe. Il a en effet été rapporté une incidence augmentée de tumeurs malignes, d'événements indésirables cardiovasculaires majeurs, d'infections graves, d'événements thromboemboliques veineux et de mortalité.
Ces inhibiteurs de JAK ne doivent ainsi être utilisés qu’en l’absence d’alternative thérapeutique appropriée chez les patients : âgés de 65 ans et plus ; fumeurs ou ayant fumé pendant une longue durée ; présentant d’autres facteurs de risque cardiovasculaires ou de tumeur maligne. Les inhibiteurs de JAK doivent être utilisés avec prudence chez les patients présentant des facteurs de risque thromboembolique veineux.
Inhibiteurs de Janus kinase : des restrictions d'utilisation
Par
Publié le 28/04/2023
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur Twitter
Twitter
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés

Crédit photo : GARO/PHANIE
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur Twitter
Twitter
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Quotidien du médecin
Comparateur de revenus : les médecins sont-ils bien payés ? Faites le test !
Vent de fronde en médecine libérale
La grève du 13 octobre fait recette
« Une perte de 3 000 euros par an pour les médecins de secteur 2 » : la réforme de l'assiette sociale des libéraux mécontente Avenir Spé
Thomas Fatôme (Cnam) : « La consultation à 26,50 euros n’est qu’une étape, c’est clair »