Il y a à l'heure actuelle 74 grands centenaires en vie recensés sur la planète. Tous ont plus de 110 ans et parmi ces personnes, les plus vieilles de l'humanité, 22 vivent aux Etats-Unis. Mais le séquençage du génome d'une vingtaine d’entre eux n'a pas permis de trouver de variations génétiques spécifiques liées à une extrême longévité, selon des travaux menée par Hinco Gierman de l'Université Stanford en Californie (Ouest) qui ont effectué le séquençage complet du génome de 17 de ces grands centenaires.
A partir de ce petit échantillon, ils n'ont pas trouvé de variations génétiques rares produisant des protéines qui pourraient expliquer leur longévité, ont-ils conclu dans cette étude parue dans la revue américaine PLOS 1. Même si ces travaux génétiques n'ont pas permis d'avancer dans la compréhension des mécanismes biologiques de la longévité exceptionnelle, les auteurs ont rendu public le séquençage de ces génomes pour de futures recherches.
Le sémaglutide efficace à 4 ans chez les adultes en surpoids ou obèses
Cardiomyopathie hypertrophique obstructive : l’aficamten fait ses preuves
Pollution de l’air : des modifications épigénétiques du placenta différentes selon le sexe du fœtus
Alzheimer : être homozygote APOE4, forme génétique de la maladie ou facteur de risque fort ?