Au Normandy, les patients amputés bénéficient des nouvelles technologies appliquées aux prothèses : genoux équipés de microprocesseurs motorisés, exosquelettes pour paraplégiques, assistances à la déficience musculaire, avec des implantations cérébrales, la robotique change la vie des patients.
« Cette ingénierie de pointe leur procure une autonomie qui était inimaginable il y a quelques années, constate le Dr Philippe Fages, mais elle induit des coûts nouveaux. Même si l’appareillage ne représente que 1 % du budget de la Sécurité sociale, nous devons tout le temps faire face à des résistances et à des blocages administratifs. Un genou motorisé coûte 700 000 euros. Qui doit payer ? »
Risque cardiovasculaire : quand la colère échauffe le cœur
Les risques liés à l’alcool toujours sous-estimés, Santé publique France réaffirme l’intérêt des campagnes grand public
Bronchiolite à VRS : deux études confirment l’efficacité du nirsévimab sur la réduction des hospitalisations et des cas sévères
Cancers œsogastriques : la place de la chirurgie se redessine avec les progrès de l’immunothérapie