Le test HPV fera-t-il son entrée dans le dépistage primaire du cancer du col de l'utérus en France ? Réponse fin 2018, estime la Haute Autorité de santé (HAS) dans une feuille de route publiée sur son site.
Ce travail s'inscrit dans le cadre de la mise en place du programme de dépistage organisé (DO) du cancer du col de l'utérus fin 2017. À la demande de la Direction générale de la santé (DGS), l'agence sanitaire se voit en charge d'évaluer la place du test HPV (incluant les autoprélèvements) dans une stratégie de dépistage primaire.
Les autorités sanitaires ont décidé de temporiser volontairement l'introduction éventuelle du test HPV par rapport à la mise en place du DO. L'INCa avait conclu à l'efficience du test HPV en dépistage primaire tous les 5 à 10 ans chez les femmes de plus de 35 ans.
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