Tout sur le rein

Publié le 12/01/2012
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› Vos malades ont lu

QUE CHOISIR SANT

É

Janvier

« COUPABLE et victime de l’hypertension », démoli par le diabète. Le rein fait la une de « Que choisir santé » qui a choisi de tout dire à ses lecteurs. Comment savoir si votre rein va bien ? Comment les préserver ? Quels sont les signes de son vieillissement ? Qui devrait se faire dépister ? Voilà quelques-unes des questions auxquelles répond le mensuel. « Silencieuse, sous-diagnostiquée, irréversible, mal connue, la maladie rénale a tout pour faire peur », indique la revue. Le rein vieillit avec son hôte : « Après 70 ans, un tiers des personnes présentent un débit de filtration de moins de 60 ml/min », souligne-t-elle. Techniquement, ces personnes « sont en insuffisance rénale » mais ne sont pas malades si le débit reste stable et qu’il n’y a pas d’autres signes d’atteinte rénale. En revanche, « leur médecin devra se montrer vigilant lors de la prescription de médicaments », explique « Que choisir santé » a ses lecteurs. Conseil alimentaire : « lorsque les reins commencent à défaillir, Il n’est pas inutile de les soulager, de les préserver même, en leur évitant les excès ».

TÊTU

Janvier

Être homosexuel, une « liberté exceptionnelle »

LE MAGAZINE « Têtu » a invité parmi les 25 personnalités lesbiennes, gays, bi et trans choisi pour avoir marqué l’année 2011, Frédéric Mitterrand. Le ministre de la Culture s’y confie et réagit à différent sujet comme le mariage homosexuel, la polémique sur le genre ou la gestation pour autrui. Il y affirme qu’être « homosexuel est un élément d’identité très important », le revendiquant « comme une liberté exceptionnelle ». Il raconte aussi les difficultés qu’il a pu rencontrer : « Je suis devenu homosexuel avant 1968, dans une période où tout était interdit et tout était impossible. Quand mon père, dans la voiture en 1966 (il avait alors 19 ans), m’a dit "à mon avis je pense que tu préfères les garçons et ne t’inquiète pas, ce n’est pas un problème, ça ne changera rien à nos relations", j’ai nié. Je n’étais pas capable de comprendre qu’il faisait un geste très fort vers moi », regrette-t-il. Selon lui, il y a aujourd’hui une évolution plutôt positive même si « les questions liées à l’homosexualité restent un sujet tabou ». Il ne comprend pas les polémiques sur l’introduction de la notion de genre dans les manuels scolaires et sur la notion de « famille homoparentale ». À propos du mariage homosexuel, le ministre déclare qu’il fera tout ce qu’il peut pour faire progresser le sujet, même si, lui-même refuse l’idée de se marier. « Je n’ai pas envie que la liberté que j’ai acquise consiste à reconstituer les schémas d’une société qui a créé l’oppression. Mais je souhaite que tous ceux qui veulent se marier puissent le faire », précise-t-il. Il avoue avoir un vrai problème avec la gestation pour autrui. « Je ne peux pas considérer le corps d’une femme comme un simple laboratoire », affirme-t-il mais il dit comprendre un de ces amis qui « a fait une conception in vitro avec une femme lesbienne. Là je trouve ça très bien », déclare-t-il.

MARIE-FRANCE

Février

ALA, EPA ET DHA

« ACIDES gras essentiels à notre organisme, on leur découvre tous les jours de nouvelles vertus », déclare « Marie-France ». En ligne de mire, les Oméga 3. Parmi eux, 3 sont nécessaires au cerveau : l’acide alpha-linolénique (ALA), présent dans certains végétaux (à absorber à raison de 2 g par jour) ; l’acide eicosapentaénoïque (EPA ) qu’on trouve dans certains poissons gras ; l’acide docosahexaénoïque) essentiellement d’origine marine. « Dans notre alimentation actuelle, nous absorbons beaucoup plus d’oméga 6 (présents par exemple dans l’huile de tournesol, de maïs ou de pépins de raisin » que d’oméga 3 », affirme le mensuel. Le rapport peut s’élever à 30 oméga 6 pour 1 oméga 3, « alors qu’il devrait être de 5 pour 1 », insiste-t-il. Une consommation idéale consiste donc à équilibrer en consommant des oméga 3 que l’on trouve soit dans les végétaux (huile de colza, lin, chanvre, noix, soja, germe de blé) ou d’origine animale. « En consommant deux à trois fois par semaine des poissons gras, on arrive à obtenir l’apport recommandé de 1 g de DHA  + EPA, c’est un minimum pour la protection cardiaque », selon l’avis du Dr Michel de Lorgeril.

AVANTAGES

Février

Parades douces contre le froid

DES ASTUCES antiglagla. Le mensuel « Avantages » veut aider ses lecteurs a en finir avec les mains et les pieds gelés. Parmi les recettes proposées, le régime esquimau. « Une étude américaine a montré que chez les personnes atteintes de syndrome de Raynaud, qui se caractérise justement par des extrémités très froides, une cure de 3 mois d’huile de poisson riche en oméga 3, pouvait faire disparaître les symptômes », affirme la revue. Pour éloigner les virus de l’hiver, se tourner plutôt vers la vitamine D (3 ampoules à prendre pendant l’hiver) et pour doper ses défenses, de la spiruline à prendre tous les matins, du pollen frais et des minicures (10 J/mois) de probiotiques.

 Dr LYDIA ARCHIMÈDE

Source : Le Quotidien du Médecin: 9064