Des femmes n’ayant pas encore eu d’enfant peuvent désormais donner leurs ovocytes et ont la possibilité de vitrifier des ovocytes matures pour leur propre usage ultérieur, à condition qu’elles effectuent un don (1).
Celui-ci est toujours anonyme et gratuit, accessible aux femmes jusqu’à 37 ans. Mais la grande majorité des dons se fait via le « don relationnel croisé », où un couple qui « recrute » une donneuse, s’il ne se verra pas attribuer les gamètes de celle-ci, bénéficiera néanmoins d’un raccourcissement de son temps d’attente. Mais, devant le manque de donneuses et ces conditions d’accès au don, on assiste de plus en plus au tourisme procréatif à l’étranger.
(1) Décret d’application d’octobre 2015 de la loi de bioéthique révisée en 2011, et guide des bonnes pratiques de décembre 2015
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