Des manifestations auto-immunes touchent environ un tiers des patients traités. « Il peut s'agir de dysthyroïdies, avec une hyper puis hypothyroïdie à substituer à vie. Des colites auto-immunes, avec diarrhées importantes (à ne surtout pas confondre avec une gastro-entérite). Une hospitalisation s'impose alors pour vérifier qu'il n'y a pas une autre cause (rectosigmoïdoscopie avec biopsies) avant de débuter une corticothérapie, rapidement efficace. Moins souvent, c'est une pneumopathie immunoallergique qui nécessite aussi une corticothérapie. Plus rarement encore : rhumatismes articulaires, encéphalites ou myocardites (exceptionnelles), voire la décompensation ou l'induction d'un diabète insulinodépendant. La plupart de ces effets secondaires vont évoluer favorablement. De plus, ils sont souvent corrélés à une bonne efficacité de l'immunothérapie », indique le Pr Gérard Zalcman (Paris).
Des effets secondaires à connaître
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Publié le 25/01/2018
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Source : Le Quotidien du médecin: 9634
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