« La complémentarité dépistage-vaccination est fondée sur un constat très simple : même avec un dépistage organisé de qualité, il subsiste environ 10 % de risque résiduel de cancers (dits « d'intervalle »). Si ces femmes avaient été vaccinées dans de bonnes conditions, c’est-à-dire avant d'être en contact avec le virus, il n'y aurait que plus que 3 % de risque résiduel » explique le Pr Jean-Jacques Baldauf. Certains pays ont mis en place des programmes scolaires de vaccination qui permettent d'atteindre des taux de couverture élevés (88 % en Nouvelle-Zélande). En France, la vaccination anti-HPV fait l'objet de campagnes médiatiques qui véhiculent une peur irrationnelle et la couverture vaccinale est très basse, aux alentours de 18 %. Une étude (publiée en septembre 2015) réalisée conjointement par l'ANSM et l'Assurance Maladie portant sur une cohorte de 2,2 millions de jeunes filles vaccinées, a pourtant montré que les bénéfices de la vaccination restent bien plus importants que les risques.
Deux stratégies complémentaires
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Publié le 02/06/2016
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Source : Bilan Spécialiste
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