Le désastre provoqué par la WHI a stimulé la recherche et permis de modifier de manière bénéfique nos pratiques médicales :
– pas de THM en prévention secondaire ou après dix ans de ménopause ;
– choisir après 50 ans l’œstradiol par voie non digestive pour éviter le risque de TEV et d’AVC ;
– ne pas associer œstradiol et progestatifs ou progestérone chez les femmes hystérectomisées ;
– chez les femmes ayant un utérus, privilégier l’utilisation de la progestérone et de la rétroprogestérone.
Nous pouvons aujourd'hui affirmer que le THM est le traitement de choix du syndrome climatérique et de la prévention primaire de l’ostéoporose, notamment chez les femmes en début de ménopause. Mais, après seize ans d’inquiétude, il semble bien difficile de rassurer les femmes quant au THM.
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