Selon l'étude de phase III ALTA-1L publiée dans le « New England Journal of Medicine », le brigatinib apparaît comme une option de traitement de première ligne pour les patients atteints de cancers bronchiques non à petites cellules et dont la tumeur porte la mutation ALK. Ces résultats ont été présentés lors de la World Conference on Lung Cancer (WCLC).
Le brigatinib a été comparé au crizotinib, traitement indiqué chez ces patients. Au total, 275 patients n'ayant jamais reçu de traitement anti-ALK ont été inclus.
La survie sans progression, critère principal de l'étude, était significativement plus longue chez les patients ayant reçu du brigatinib (taux de 67 %) comparé à ceux ayant eu du crizotinib (taux de 43 %). Le taux de réponse était par ailleurs de 71 % avec cette thérapie ciblée (contre 60 % avec le crizotinib).
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