• Absence de lésions corporelles, intégrité du corps ;
• non-destruction de preuves ou d’indices susceptibles d’être endommagés à l’autopsie classique ;
• conservation des images qui peuvent être transférées et analysées à distance, ou réexaminées a posteriori ;
• stockage des images dans une banque de données utiles à la recherche et à la formation des étudiants.
Pause exceptionnelle de votre newsletter
En cuisine avec le Dr Dominique Dupagne
[VIDÉO] Recette d'été : la chakchouka
Florie Sullerot, présidente de l’Isnar-IMG : « Il y a encore beaucoup de zones de flou dans cette maquette de médecine générale »
Covid : un autre virus et la génétique pourraient expliquer des différences immunitaires, selon une étude publiée dans Nature