L’évolution séculaire de l’âge de la puberté montre une diminution progressive dans les pays industrialisés depuis les premières enquêtes, qui s’est accélérée depuis le milieu du XXe siècle et de façon très marquée depuis les années 1990. Elle est liée à l’amélioration des conditions de vie, de l’alimentation en particulier pendant la grossesse et la petite enfance. L’implication de la masse grasse et des adiponectines est très vraisemblable, l’âge de la puberté étant inversement corrélé à l’IMC, mais les mécanismes sont imparfaitement connus. « La grande question actuellement, c’est de connaître la place des phénomènes environnementaux et des perturbateurs endocriniens, explique la Dr Yamina Dassa. Ils ont certainement un impact, mais des études sont nécessaires pour connaître le rôle de chaque substance et de quantifier la dose délétère ».
Un âge qui avance
Publié le 04/02/2016
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Source : Bilan spécialiste
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