Des professionnels de santé (rhumatologues, généralistes, chirurgiens, kinésithérapeutes, pharmaciens, médecins thermaux et rééducateurs, infirmières, podologues…), des assistantes sociales, des sociétés savantes, les conseils de l’Ordre et les patients ont contribué à ce travail dès 2011. Méthodiquement, ce collectif informel baptisé Alliance nationale contre l’arthrose a mis en place un à un les outils de communication et de collecte de l’information : un portail associatif (www.stop-arthrose.org, 2012), une enquête quantitative sur les répercussions de l’arthrose et les attentes des patients (enquête stop-arthrose, 2013), un panel de patients citoyens (2014), une série de tables rondes régionales ayant réuni plus de 270 personnes (2014 et 2015) et enfin un sondage sur plus de 4 300 répondants pour classer les 79 propositions. Ce livre blanc détaille la méthodologie, les questionnaires et les résultats des tables rondes thématiques (optimisation du parcours de soin, vie quotidienne, prise en charge de la douleur, chirurgie et prothèses, prévention et réduction des inégalités sociales de santé).
Un travail collaboratif sans précèdent
Publié le 17/12/2015
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Source : Le Quotidien du Médecin: 9459
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