Des chercheurs américains ont publié dans la revue « Proceedings of the National Academy of Sciences »,une explication aux métrorragies liées à l’utilisation de contraceptifs de type progestatifs de longue durée d’action. Si les saignements sont une cause fréquente d’abandon des injections de Dépoprovera et de retrait anticipé de l’implant, le mécanisme sous-jacent n’était pas connu. Dans une série d’expérimentations in vitro, chez le cobaye et chez 6 femmes avant et après injection de Dépoprovera, l’équipe de l’Université de Floride du Sud a mis en évidence que ce type de progestatifs de longue durée altérait la prolifération et la migration de cellules du muscle lisse vasculaire endométrial. In vitro, l’administration d’une chimiokine ligand 2 a permis d’annuler l’effet délétère des progestatifs de longue durée d’action, ce qui ouvre une piste thérapeutique nouvelle pour contrer les métrorragies liées à ce type de contraception.
Cause majeure de retrait anticipé
Une clef pour les saignements liés à l’implant
Publié le 07/04/2015
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PNAS, publié le 6 avril 2015
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Source : Le Quotidien du Médecin: 9401
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