La notion de contrôle de l’asthme est basée sur la capacité des symptômes d’asthme à diminuer ou à augmenter spontanément ou sous traitement.
→ L’évaluation du contrôle est basée sur deux composantes : l’état de l’enfant au cours des dernières semaines et les facteurs de risque péjoratifs pour l’évolution.
■ Le niveau de contrôle des symptômes de l’asthme doit être évalué sur les 4 dernières semaines :
Résultats : l’asthme est bien contrôlé s’il n’existe aucun de ces symptômes, partiellement contrôlé s’il en existe 1 à 2, non contrôlé s’il existe 3 à 4 de ces symptômes.
→ La recherche de facteurs péjoratifs exposant à une évolution défavorable est importante pour anticiper les symptômes (symptômes d’asthme non contrôlés ; la notion d’exacerbations sévères durant l’année écoulée ; exposition à la fumée de tabac, la pollution intérieure et extérieure, les allergènes de l’intérieur des maisons ; problèmes psychologiques ou socio-économiques majeurs dans la famille ; mauvaise adhésion au traitement de fond ou utilisation incorrecte des inhalateurs).
→ L’évaluation du contrôle est basée sur deux composantes : l’état de l’enfant au cours des dernières semaines et les facteurs de risque péjoratifs pour l’évolution.
■ Le niveau de contrôle des symptômes de l’asthme doit être évalué sur les 4 dernières semaines :
- symptômes quotidiens de plus de quelques minutes, plus d’une fois par semaine ;
- toute limitation d’activités en rapport avec l’asthme (courir ou jouer) ;
- tout réveil nocturne ou toux dues à l’asthme ;
- nécessité de prendre un traitement bronchodilatateur plus d’une fois par semaine.
Résultats : l’asthme est bien contrôlé s’il n’existe aucun de ces symptômes, partiellement contrôlé s’il en existe 1 à 2, non contrôlé s’il existe 3 à 4 de ces symptômes.
→ La recherche de facteurs péjoratifs exposant à une évolution défavorable est importante pour anticiper les symptômes (symptômes d’asthme non contrôlés ; la notion d’exacerbations sévères durant l’année écoulée ; exposition à la fumée de tabac, la pollution intérieure et extérieure, les allergènes de l’intérieur des maisons ; problèmes psychologiques ou socio-économiques majeurs dans la famille ; mauvaise adhésion au traitement de fond ou utilisation incorrecte des inhalateurs).
Mise au point
Les urgences psychiatriques en médecine générale
Étude et pratique
Mortalité liée au tabac, le sevrage bénéfique quel que soit l’âge
Cas clinique
Le kyste osseux anévrismal
Recommandation
Le RGO du nourrisson