Ce n’est pas parce qu’on ne dose pas la vitamine D qu’il ne faut pas prescrire de vitamine D et on prêtera une attention particulière (supplémentation systématique) aux enfants et adolescents, aux personnes présentant des risques d’hypovitaminose D (peau foncée, surpoids, port de vêtements couvrants, pas ou peu d’activités en extérieur…) ou une pathologie chronique (autre que celles relevant d’un dosage de la vitamine D), aux femmes ménopausées et plus généralement aux personnes de plus de 60-65 ans.
La vitamine D doit être prise si possible au cours du repas [28].
En cas d’administration quotidienne, vitamine D2 et D3 sont équivalentes.
Pour les doses espacées, c’est la D3 qui est préférée car, à posologies égales, le taux sérique est maintenu plus longtemps qu’avec la D2 [29].
Mise au point
Troubles psychiatriques : quand évoquer une maladie neurodégénérative ?
Étude et pratique
Complications de FA, l’insuffisance cardiaque plus fréquente que l’AVC
Cas clinique
L’ictus amnésique idiopathique
Recommandations
Antibiothérapies dans les infections pédiatriques courantes (2/2)