Épidémiologie et comorbidités
La prévalence vie entière en population générale de trouble de stress post-traumatique est de l’ordre de 1 % [3]. Le sex ratio est de deux femmes pour un homme.
Le risque de développer un trouble de stress post-traumatique à la suite d’un événement potentiellement traumatique est d’environ 10 %.Ce risque varie en fonction de l’intensité, de la nature de l’événement et de la population concernée.
Les circonstances particulières des attentats du 13 novembre 2015 (cf. les facteurs de risque) font craindre un risque supérieur à 15 % chez les personnes exposées.
La comorbidité atteint près de 80 % des patients, notamment l’association d’un trouble anxieux, d’une dépression et/ou de conduites addictives.
Facteurs de risque
Biologie
Les principales perturbations biologiques décrites touchent l’axe corticotrope. L’imagerie cérébrale retrouve des modifications fonctionnelles et structurales des régions impliquées dans la mémoire émotionnelle: hyperactivité limbique, hypoactivité hippocampique avec réduction atrophique du volume de l’hippocampe.
Mise au point
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Étude et pratique
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Cas clinique
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