Ce sont majoritairement les troubles du bas appareil urinaire qui affectent les deux tiers des patients traités pour Parkinson (hyperactivité vésicale, troubles obstructifs). Mais les antiparkinsoniens sont responsables chez 10 à 20 % des patients d’états d’hypersexualité, de désinhibition, voire de paraphilies. Leur action sélective sur les récepteurs D3 au niveau du système limbique est certainement en cause qui doivent être connues des praticiens notamment lorsqu’un patient traité se plaint de dysfonction érectile et souhaite une prescription d’inhibiteur de PDE5 ou d’injections intracaverneuses (16).
LES ANTIPARKINSONIENS
Publié le 07/11/2014
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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