- L’efficacité du préservatif pour prévenir la transmission du VIH, quasi parfaite en théorie, apparaît soumise aux conditions de son utilisation.
- Les études menées sur des cohortes d’usagers montrent que même dans les groupes d’utilisateurs les plus rigoureux, alléguant un usage absolument systématique du préservatif pour toute pratique de pénétration, des transmissions sont constatées.
- Dans la vie réelle, le préservatif systématiquement et correctement utilisé réduit le risque de transmission du VIH, selon les études, de 90 à 95 % par rapport à l’absence de protection. La réduction est donc très importante, mais on ne peut pour autant parler d’une absence totale de risque. Elle décroît évidemment d’autant plus fortement que l’usage est moins systématique.
- Les limites de la prévention par le préservatif sont connues : usage non systématique, mésusage, rupture. L’usage du préservatif doit cependant continuer à être promu, d’autant qu’il permet d’assurer une protection contre les autres IST.
Mise au point
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