- Privilégier les actions américaines.
- Sous-pondérer les actions d’Amérique Latine, d’Europe de l’Est et les matières premières.
- Sur-pondérer l'or.
- Sur-pondérer les emprunts d’état européens, les obligations convertibles et les obligations d’entreprises ayant des bilans rassurants.
- Réduire au moins momentanément les secteurs défensifs (biens de consommation non cycliques, santé, alimentation et boissons), qui se sont mieux tenus, en espérant réinvestir à moyen terme, pour profiter d'un repli.
- Réduire les secteurs les plus cycliques (à l’exception de la construction), même si, à chaque reprise technique, ceux-ci font l’objet de forts rebonds passagers.
- Réduire le secteur de l’assurance, où de nouvelles déceptions pourraient survenir (dépréciations d’actifs, augmentation de capital).
Dr Franck Devulder (CSMF) : « Il faudra du courage au ministre de la Santé »
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« Il faut arrêter ces gages permanents d’amour envers l’hôpital public », déplore la Dr Sophie Bauer (SML)