« Pour le contexte, toute la journée ce lendemain des élections, il y avait des tractations d’appareil pour des fusions de listes, comme si de rien n’était, et ça m'a choquée ; je trouvais que c'était déconnecté de la réalité que nous allions vivre. Je voyais l’épidémie progresser et j’avais la quasi-certitude que nous ne pourrions pas tenir le second tour et j’étais très énervée. Donc j’ai répondu à cela, c’est cela que j’ai appelé 'une mascarade. »
Le 17 mars 2020 au journal Le Monde (le lendemain du premier tour des élections municipales) :
« Depuis le début je ne pensais qu’à une seule chose : au coronavirus. On aurait dû tout arrêter, c’était une mascarade. La dernière semaine [de campagne avant le premier tour] a été un cauchemar. J’avais peur à chaque meeting. J’ai vécu cette campagne de manière dissociée. »
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