« Il faut lancer la formation en un an dès la rentrée universitaire prochaine d'une première cohorte de 3 000 infirmières praticiennes d'urgence (IPU) mobiles qui puissent, outre poser des diagnostics, prescrire des traitements, seules, sans l'aval du médecin référent, tout en l'informant des décisions prises. Ces IPU se rendront sur place en visite chez les malades ou sur le lieu de l'accident pour juger si le malade ou le blessé peut être traité sur place ou s'il nécessite une hospitalisation en accord avec les équipes d'urgence hospitalières. »
Guy Vallancien, président de Cham in le journal Les Echos du 12 juin 2019, Le point de vue "On peut mettre fin au scandale des urgences à l'hôpital".
Le sport santé en étendard pour la Dr Stéphanie Motton, porteuse de la flamme olympique
Aide active à mourir : le critère de pronostic vital remplacé par celui d’« affection en phase avancée ou terminale » en commission
Ehpad publics : 15 maires bretons attaquent l’État pour non-respect des droits fondamentaux des résidents
Violences sexistes et sexuelles : la Pr Agnès Buzyn se paye l’Ordre pour avoir « trop souvent protégé » les harceleurs