L’unanimité de l’Assemblée s’est faite sur un amendement de plusieurs députés UMP qui stipule que, lors des consultations de dépistage anonyme et gratuit (CDAG) du sida et des hépatites, « en cas de nécessité thérapeutique et dans l’intérêt du patient, le médecin peut procéder à la levée de l’anonymat sous réserve du consentement de la personne intéressée ». « L’anonymat n’apparaît pas toujours favorable à la continuité des soins », argumentent les auteurs de l’amendement, qui rappellent un rapport du Conseil national du sida de 2006 recommandant une adaptation du principe d’anonymat lors des consultations de dépistage.
Sida et anonymat
Publié le 11/03/2009
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Le Quotidien du Mdecin
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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