Touchant 1 homme pour 100 000 (âge moyen de 60 ans), neuf fois sur dix au niveau du gland (48 %) ou du prépuce (21 %), ce cancer serait lié une fois sur deux à une infection à HPV. Le phimosis et l'absence d'hygiène locale suffisante sont considérés comme des facteurs de risque alors que la circoncision serait protectrice. Dans une méta-analyse de 2018 publiée dans « The Lancet », la prévalence de l'HPV a été estimée à 50,8 % des cas. Le vaccin HPV pourrait donc être aussi bénéfique en prévention. Lorsque la tumeur est présente, la chirurgie est proposée en priorité et peut aboutir à une ablation partielle, voire totale du pénis : un argument susceptible de faire mouche chez les candidats à la vaccination !
500 nouveaux cas de cancer du pénis par an en France
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Publié le 22/09/2020
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Source : Le Quotidien du médecin
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