La vaccination contre le papillomavrus humain est la principale mesure de prévention contre du cancer du col. L’accès aux vaccins doit être amélioré, tout comme l’information des adolescentes. Le dépistage du cancer cervical par frottis de Pap nécessite un équipement de laboratoire sophistiqué et du personnel qualifié, mais le rapport suggère que « d’autres procédures, efficaces et bon marché, comme l’inspection visuelle du col de l’utérus, après application d’acide acétique (vinaigre) ou de soluté de lugol », soient utilisées. Les lésions précancéreuses du col, quant à elles, peuvent être traitées par cryothérapie dans les centres de soins primaires. La procédure LEEP (Loop Electrosurgical Excision), réalisée à l’aide d’un fil métallique fin chauffé à l’électricité, pourrait être envisagée, même si elle nécessite une formation plus poussée et un équipement plus sophistiqué. Dans le cas du dépistage à grande échelle du cancer du sein par mammographie, inapplicable dans les régions à faibles ressources, « un examen clinique réalisé par une infirmière permettrait un dépistage tout aussi efficace, même dans des cliniques et des centres de soins isolés ».
Des solutions adaptées
Publié le 21/09/2009
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Le Quotidien du Mdecin
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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