Un essai présenté à l’ASCO 2014 a testé l’ipilumab après chirurgie et curage ganglionnaire des formes en rémission. Pour mémoire, la chimiothérapie n’a pas montré son intérêt dans cette situation et celui de la radiothérapie est limité aux rechutes locales dans les rechutes ganglionniares cervicales ou axillaires avec plus de 3 ganglions positifs. L’ipilimumab diminue de 25% le risque de rechute mais sa toxicité, sans doute liée à l’utilisation d’une forte dose, est trop importante dans cette population de patientes.
En traitement adjuvant
Publié le 23/06/2014
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Quotidien du Médecin: 9337
Congrès de la SNFMI 2024 : la médecine interne à la loupe
La nouvelle convention médicale publiée au Journal officiel, le G à 30 euros le 22 décembre 2024
La myologie, vers une nouvelle spécialité transversale ?
Maintien des connaissances et des compétences
La certification périodique marque des points