L’examen en IRM se fait en procubitus, les seins étant logés dans deux alvéoles, et dure environ un quart d’heure. Les patientes portent un casque et ont une voie veineuse pour permettre l’injection de gadolinium. C’est en effet la soustraction des images obtenues avant et après injection gadolinium qui va permettre de détecter une néoangiogénèse. L’étude morphologique de la lésion, de son signal sur les différentes séquences et l’étude cinétique du rehaussement vont permettre de classer l’anomalie selon la classification Birads de l’ACR.
L’IRM en pratique
Publié le 27/05/2009
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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