Le principe de l’échographie de contraste repose sur l’injection d’un agent de contraste, composé de particules d’air ou de gaz encapsulées, qui, sous une certaine fréquence, subissent des modifications de volume. Ces vibrations entraînant une résonance caractéristique et sont à l’origine d’un signal ou « signature » permettant de parfaitement visualiser les structures vasculaires, qu’il s’agisse des gros vaisseaux ou de la microvascularisation tumorale. Cet examen, totalement non invasif, nécessite un appareil échographique haut de gamme, programmé pour l’échographie de contraste. La résolution temporelle utilisée lors de l’échographie de contraste est très élevée (de l’ordre de 10 à 15 images par seconde).
On s’intéresse plus particulièrement aux trois premières minutes suivant l’injection IV de 1 à 2,5 ml de l’agent de contraste, avec successivement la phase artérielle, la phase portale puis la phase tardive. Ces injections peuvent être répétées ; l’examen n’est guère plus long qu’une échographie simple.
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