Les dispositifs médicaux recouvrent des produits très nombreux et hétérogènes : pansements, lits médicalisés, fauteuils roulants, lecteurs de glycémie, orthèses, verres optiques, stimulateurs cardiaques, implants... On distingue plusieurs grandes familles : les DM implantables, qui peuvent être actifs (stimulateurs cardiaques) ou non actifs (implants orthopédiques ou oculaires), les équipements destinés au diagnostic, à l’anesthésie-réanimation, à la suppléance fonctionnelle, ou à des gestes thérapeutiques, des DM de soins à usage unique,des DM de diagnostic in vitro (pour les analyses de biologie médicale et d’anatomopathologie) et des produits invasifs à finalité esthétique (qui ne sont pas encore confirmés dans les nouveaux règlements).
Selon leur niveau de risque, ils se répartissent en 4 classes :
1. faible risque ;
2a. en contact avec les plaies ou les fonctions diagnostiques ;
2b. pour les dispositifs radiogènes ou les implants passifs ;
3. qui regroupe les DM implantables, en interaction avec le système cardiocirculatoire central ou nerveux central.
Maintien des connaissances et des compétences
La certification périodique marque des points
Deux poids, deux mesures ? La fin des négos ravive les tensions entre spécialistes et généralistes
Déconventionnement : la colère enfle sur l’île de beauté
C’est quoi ta spé ? – Épisode 01
[VIDÉO] « La bobologie c’est super ! » : Mirana, interne en médecine générale, livre son expérience et ses conseils