Une perquisition a été menée ce mardi au siège du laboratoire Merck, fabricant du Lévothyrox, dans le cadre d'une enquête préliminaire ouverte pour « tromperie aggravée, atteintes involontaires à l'intégrité physique et mise en danger de la vie d'autrui ».
Ces investigations sont réalisées par les gendarmes de l'Office central de lutte contre les atteintes à l'environnement et à la santé publique (OCLAESP) « sous la tutelle de deux magistrats de Marseille, dans les trois établissements du siège de Merck situés à Lyon et dans sa banlieue », a précisé à l'AFP le procureur de Marseille Xavier Tarabeux, ajoutant qu'aucune audition ou garde à vue n'était prévue pour l'heure.
Merck a confirmé que la perquisition à son siège lyonnais, assurant que celle-ci était « attendue » et que le laboratoire y collaborait « activement ».
Fin septembre, 62 plaintes ont été déposées et confiées au pôle de santé publique du tribunal de grande instance de Marseille.
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