• En 2D, les sondes à très haute fréquence apportent maintenant une bien meilleure définition des images et le Doppler haute définition révolutionne la connaissance de la vascularisation fœtale fine.
• La 3D ne cesse de s’améliorer. Elle devrait faire partie intégrante de toute machine au même titre que la 2D et le Doppler. Elle permet de symétriser les trois plans de coupes – essentiel pour de nombreux organes –, et aussi la reconstruction de la peau en mode surface, pour révéler une dysmorphie faciale, ou le mode osseux, qui donne des images extrêmement précises du squelette. « La 3D est incontestablement une révolution technologique et un apport diagnostique fondamental, non seulement pour les échographies obstétricales, par exemple au 1er trimestre de la grossesse, où elle permet un examen rapide et sur de l’ensemble du fœtus corps entier et les quatre membres sur un seul cliché, mais aussi en gynécologie, pour les malformations utérines (utérus cloisonné ou bicorne), les masses ovariennes, les pathologies tubaires (hydrosalpinx) », explique le Dr Jean-Marc Levaillant.
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