Une étude réalisée à Washington chez les vétérans entre 50 et 70 ans sur la période 2008-2013, a permis d’observer une séroprévalence VHC de 13 % chez eux. Les auteurs ont comparé la population des patients mono-infectés par le VHC à celle des co-infectés VIH-VHC, 4 327 et 402 patients respectivement.
Il n’a pas été mis en évidence de différence significative entre les deux groupes en ce qui concerne le taux d’infection par un génotype 1, le nombre de patients ayant bénéficié d’un traitement, l’obtention d’une réponse virale soutenue, l’incidence des complications à type d’hépatocarcinome et la mortalité. La seule différence entre ces deux populations concernait le score de fibrose, significativement plus élevé chez les patients co-infectés.
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