Des neurobiologistes californiens ont décrit pour la première fois les circuits neuronaux à l’échelon individuel entre un photorécepteur et une cellule ganglionnaire de la rétine. Pour obtenir ces résultats, l’équipe de l’institut Salk a étudié les entrées et les sorties électriques sur des rétines extraites de macaques à l’aide d’une technique multi-électrodes. Les cellules ganglionnaires de la rétine, à l’appellation parfois exotique (parasol, naines ou bistratifiée), transmettent bien les signaux visuels, de l’œil au cerveau. «Mieux connaître comment sont connectées les cellules nous permettra d’améliorer les implants rétiniens», explique E.J. Chichilnisky, l’auteur senior de l’étude.
Neuron, vol 467, 673-678, 7 octobre 2010
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