Outre son rôle dans le maintien de la masse osseuse et l’homéostasie minérale, la vitamine D exerce des effets biologiques significatifs sur le muscle squelettique. « Nos résultats préliminaires ont montré que la vitamine D est non seulement capable de stimuler la synthèse protéique dans la cellule musculaire, mais aussi d’augmenter la quantité du récepteur à l’insuline en provoquant une surexpression de son gène », précise Stéphane Walrand, directeur de recherches INRA. Chez la personne âgée, un faible statut en vitamine D est associé à une diminution de la masse, de la force et des capacités contractiles musculaires. La supplémentation en vitamine D améliore les paramètres fonctionnels musculaires. L’étude du rôle métabolique, cellulaire et moléculaire de la vitamine D au sein du muscle mériterait, toutefois, d’être mieux connu.
L’impact musculaire de la vitamine D à l’étude
Publié le 11/06/2015
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Source : Nutrition
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