L’étude TOLEDO (1), menée chez des patients en rémission durable et sans progression radiographique sous traitement par abatacept ou tocilizumab, a montré que l’espacement des injections de ces bDMARDs se traduisait par une augmentation du score d’activité de la PR, avec un taux de rechute deux fois supérieur en cas d’espacement par rapport au maintien de la pleine dose. Cependant, le retour à la dose antérieure permet de retrouver l’état de rémission chez la plupart des patients. De plus, la décroissance, ou plus rarement l’arrêt, de l’abatacept ou du tocilizumab s’avère possible dans près de 70% des cas, ce qui permet d’alléger le coût du traitement et le risque d’évènements indésirables.
(1) Kedra et al, SFR 2019
Maintien des connaissances et des compétences
La certification périodique marque des points
Deux poids, deux mesures ? La fin des négos ravive les tensions entre spécialistes et généralistes
Déconventionnement : la colère enfle sur l’île de beauté
C’est quoi ta spé ? – Épisode 01
[VIDÉO] « La bobologie c’est super ! » : Mirana, interne en médecine générale, livre son expérience et ses conseils