La prise en charge d’un ulcère de jambe et des escarres des talons diffère fondamentalement selon l’existence ou non d’une artériopathie. Un ulcère artériel ne sera pas traité de la même façon qu’un ulcère veineux. La contention veineuse sera bénéfique dans un cas et délétère dans l’autre. Lorsqu’on n’envisage pas de revascularisation sur une artériopathie sévère, le recours à des protocoles de momification n’est pas entré dans les habitudes et la cicatrisation en milieu humide parfois poursuivie trop longtemps. « La mesure de l’IPS est au centre de la prise en charge des plaies, selon qu’il existe ou non une AOMI et devrait faire partie de tout bilan d’évaluation d’une plaie du membre inférieur chez un patient dont le statut vasculaire n’est pas connu », insiste le spécialiste.
L’IPS à l’avantage d’être accessible financièrement (moins de 200 euros pour le matériel) et est tout à fait réalisable au lit du patient, ce qui représente un atout majeur dans la prise en charge des patients en Ehpad.
Le don du sang guidé par le dosage de ferritine, une mesure efficace pour prévenir l’anémie
Cisplatine : une surdité dose-dépendante plus sévère chez les patients âgés et dyslipidémiques
Après un cancer, les femmes ont un risque plus élevé de complications obstétricales
Cancer de l’endomètre : l’hypertrophie non retrouvée à l’échographie chez plus d’une femme noire sur 10