Le problème avec les recommandations, c'est qu'il faut souvent un temps fou avant d'avoir une réponse ! Pendant des mois et des mois, il n'y a rien, puis cela arrive de façon précipitée et on nous demande d'appliquer au plus vite ces recommandations, qui renvoient aussi à de nombreux textes réglementaires. C'est le cas par exemple des tests antigéniques rapides, qui ne sont pas si simples à mettre en place dans les cabinets. Enfin, les recos ne sont souvent pas adaptées au secteur libéral car elles relèvent d'une vision hospitalière. Sur ce point, il faudrait pouvoir faire davantage de recherche en ville.
Présidente de la FMF
Article précédent
Dr Jacques Battistoni : « La HAS, on en a besoin ! »
Article suivant
Dr Jean-Paul Ortiz (CSMF) : « Pas assez réactive »
Dominique Le Guludec : « Pendant la crise, nous n'avons pas arrêté de sortir des avis »
Dr Jacques Battistoni : « La HAS, on en a besoin ! »
Dr Corinne Le Sauder FMF) : « Pas si simples ! »
Dr Jean-Paul Ortiz (CSMF) : « Pas assez réactive »
UFML-Syndicat : « Colère et stupéfaction »
Dr Philippe Vermesch (SML) : « Des recos équilibrées »
Pr Olivier Saint-Lary : « Une zone d'incertitude »
Violences sexistes et sexuelles : la Pr Agnès Buzyn se paye l’Ordre pour avoir « trop souvent protégé » les harceleurs
La santé publique doit être la deuxième priorité du Parlement européen, selon un sondage
Pas d’écrans avant 3 ans, pas de téléphone avant 11 ans… : la commission d’experts propose un guide fondé sur la science
Violences sexistes et sexuelles
Comment s’enracinent les schémas de domination à l’hôpital