«Presque toutes les spécialités ont pris le bouillon et plus particulièrement les médecins qui travaillent en établissement. Leur activité a été freinée, faute de pouvoir faire fonctionner les plateaux techniques. Face à ces baisses de revenus importants, nous appelons l'Assurance-maladie à faire un geste pour les 26 000 médecins qui doivent rembourser des indus dans le cadre du Dipa. L'État de son côté pourrait donner un signal fort en supprimant les six mois de stabilisateurs économiques pour que les revalorisations tarifaires de l'avenant 9 – comme la hausse de l'APC – s'appliquent dès 2021 !»
* président des Spécialistes-CSMF
Article précédent
Trois questions à Béchir Chebbah, président de l'UNASA
Article suivant
BNC : les anesthésistes en haut du palmarès
Dr Jacques Battistoni* : «La perte de revenus doit être compensée»
Trois questions à Béchir Chebbah, président de l'UNASA
Dr Franck Devulder : «Face à ces baisses, il faut un signal fort de l'Etat»
BNC : les anesthésistes en haut du palmarès
François Blanchecotte Président du Syndicat des biologistes
Combien de divisions ?
Violences sexistes et sexuelles : la Pr Agnès Buzyn se paye l’Ordre pour avoir « trop souvent protégé » les harceleurs
La santé publique doit être la deuxième priorité du Parlement européen, selon un sondage
Pas d’écrans avant 3 ans, pas de téléphone avant 11 ans… : la commission d’experts propose un guide fondé sur la science
Violences sexistes et sexuelles
Comment s’enracinent les schémas de domination à l’hôpital