Inscrit dans le cadre d'une relation médecin-patient, le « colloque singulier » a été défini par Georges Duhamel en 1937, comme la rencontre d'une confiance (du patient) et d'une conscience (du médecin).
Une rencontre marquée par la confidentialité de ce qui est échangé et protégée par le secret médical. Cette rencontre « singulière » est précieuse pour le médecin comme pour le patient dans le cadre d'une consultation. Elle permet la mise en œuvre de forces curatives dont témoigne l'effet placebo et de souscrire au devoir d'information du médecin. C'est dans ce cadre que peut être recueilli le consentement éclairé du patient quand il concerne des décisions médicales à prendre. Un consentement qui doit être recherché dans tous les cas selon l'article 36 du Code de déontologie médicale, mais qui doit respecter aussi le refus éventuel du patient concernant les traitements proposés, après l'avoir informé de ses conséquences probables.
Étude et pratique
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Cas clinique
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