Un autre objectif de la réforme est de définir les compétences que devront acquérir les futurs médecins. « Les connaissances sont une chose mais, pour être un bon médecin, il ne suffit pas d’avoir une acquisition parfaite de toutes les connaissances, prévient le Dr Philippe Deruelle, secrétaire du Collège des enseignants de gynécologie-obstétrique. Le but, désormais, est aussi de définir ce qu’est la compétence du médecin. Pour un gynécologue-obstétricien, cela peut être l’humanité, la bientraitance ou une capacité de réflexion sur ses pratiques. Cette évolution est nécessaire dans notre spécialité, notamment pour tenir compte du ressenti de certaines patientes qui estiment que la médecine est trop technique ou qui ont le sentiment d’être parfois de victimes de violences médicales ».
Acquisition de compétences
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Publié le 24/06/2019
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Source : Bilan Spécialiste
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