Jusqu’à 20 % du blé et du maïs sont contaminés par des mycotoxines, les rendant impropres à la consommation humaine, et cela pourrait s’aggraver avec le réchauffement climatique car le stress hydrique et les températures augmentent leur production.
L’Inrae investigue différentes voies de recherche pour se passer de pesticides : anticiper la libération des toxines, lutter directement contre les champignons en utilisant des peptides de tiques ou des coproduits de la vigne ou encore s’adjoindre les services de bactéries et levures du sol et des épis.
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