« En 2017, l’American Heart Association s’était prononcée en faveur de la supplémentation en oméga 3 (1 g/j d’EPA et DHA) dans les situations de prévention cardiovasculaire secondaire, mais pas en prévention primaire, où seule la consommation de poissons deux fois par semaine était préconisée. En 2016, le NICE anglais avait lui aussi encouragé la consommation de poisson, mais déconseillé la supplémentation en oméga 3, en prévention primaire comme secondaire », rappelle la Pr Ariane Sultan (Montpellier).
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