La capacité physique représente un capital santé. Le nombre d’étage montés sans s’essouffler est un fort déterminant de la mortalité. « On peut toujours améliorer ses capacités physiques, quels que soit son âge et ses pathologies, affirme le Pr François Carré, médecin du sport au CHU de Rennes. Il s’agit même de la première chose à prescrire dans de nombreuses pathologies : diabète, obésité, maladies cardiaques, rhumatologiques mais aussi neurologiques, comme la dépression, la SEP, etc. »
Dans son expertise de 2019, l’Inserm retenait que « ne pas prescrire d’activité physique adaptée est une perte de chance. » Et la prescription améliore de 50 % l’observance. Quatre éléments à préciser : l’encadrement, le Fiit (fréquence, intensité, temps, type d’activité), les contre-indications éventuelles et les articulations à respecter.
Conférence de presse organisée par le Cniel
La nouvelle convention médicale publiée au Journal officiel, le G à 30 euros le 22 décembre 2024
La myologie, vers une nouvelle spécialité transversale ?
Maintien des connaissances et des compétences
La certification périodique marque des points
Deux poids, deux mesures ? La fin des négos ravive les tensions entre spécialistes et généralistes