C’est à ne plus rien y comprendre ! Après avoir jeté l’opprobre sur le stress oxydatif l’accusant d’être à l’origine du vieillissement et de cancers, des scientifiques californiens le réhabilitent maintenant... mais attention à petites doses. Le chercheur Trey Ideker et ses collègues de l’université de San Diego viennent en effet de montrer qu’une faible exposition aux dérivés réactifs de l’oxygène permettrait à l’organisme de mieux réagir en cas de concentrations plus fortes. Alors que contrairement à ce qui était admis, la restriction calorique semble en réalité augmenter le niveau de radicaux libres, ce mécanisme d’adaptation au stress oxydatif pourrait expliquer l’espérance de vie allongée constatée chez les petits mangeurs.
PLoS Genetics, édition en ligne.
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